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L'imprimerie clandestine

Passés  l’armistice et la défaite, des Français, seuls ou en très petits comités refusent la situation et cherchent à « faire quelque chose. » Ils se tournent vers l’éveil des consciences avec les moyens dérisoires dont ils disposent : une machine à écrire familiale voire une imprimerie pour enfant. Outre la censure, imprimeurs et libraires subissent de plein fouet la pénurie de papier dont la distribution est gérée par le Comité d’organisation installé à Vichy et contrôlée par les Allemands. Malgré la pénurie et la censure, les livres, les journaux et les tracts circulent. De leur côté, les imprimeurs ont recours au marché noir et font preuve de beaucoup d’imagination pour trouver le papier et l’encre destinés aux parutions clandestines. L’ingéniosité des années 1940-1942 est progressivement remplacée par une véritable organisation et cela au fur et à mesure que les mouvements se structurent. L’impression des documents passe par des imprimeurs professionnels qui mettent leur matériel à la disposition de la résistance.

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